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Le Gouvernement célèbre la Journée Internationale de l’Éducation

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La cérémonie s’est déroulée en présence notamment du directeur de cabinet du Premier Ministre M. Samuel Henry Saturné, le Ministre de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle Nesmy Manigat, la ministre de la Culture et de la Communication Madame Emmelie Prophète Milcé et le représentant de l’UNICEF en Haïti, M. Bruno Maes, également président de la table sectorielle de l’éducation en Haïti. Le directeur général du Fonds National de l’Éducation (FNE), M. Jean Ronald Joseph, a également pris part à cette cérémonie.

L’assistance était composée des membres du cabinet Premier ministre et des cadres de la Primature et du Ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle (MENFP), des éducateurs, des étudiants et membres du personnel enseignant et administratif ayant œuvré à la reprise des activités scolaires dans les zones réputées difficiles.

Cette célébration haïtienne de la Journée internationale de l’éducation a été l’occasion pour le gouvernement de procéder à la remise des lettres de nomination et des permis provisoires d’enseigner aux étudiants de l’École Normale Supérieure (ENS), de l’École Nationale de Géologie Appliquée (ENGA), du Centre de Formation pour l’École Fondamentale (CFEF), de la Formation Initiale Accélérée (FIA), de l’École Nationale des Arts (ENARTS) et des Universités Publiques Régionales (UPR).

10 personnalités, majoritairement enseignants, ont également été honorées par le Ministère de l’Éducation Nationale au cours de cette activité. Il s’agissait d’agents et/ou d’éducateurs provenant des lycées national de La Saline, Daniel Fignolé, Alexandre Pétion, de l’école nationale de Cité-Soleil et de la Police communautaire éducative (Edupol).

Prenant la parole en la circonstance, le Premier Ministre, le Dr Ariel Henry, a rappelé que la non-scolarisation des enfants ne fait qu’exacerber « le phénomène de l’insécurité ». « Chaque enfant laissé en dehors de l’école, est un pas de plus vers l’insécurité », a-t-il insisté.

FIN

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